Kalat Cheikh Bouamama, anciennement appelé Ksar Moghrar el Tahtani, est une forteresse historique et un musée national en Algérie. Ce site emblématique, à environ 120 km au sud de Naâma, commémore la résistance héroïque du rebelle Cheikh Bouamama et préserve le riche patrimoine culturel de la région.

Ksar Moghrar el Tahtani a joué un rôle crucial pendant la période de la pénétration française. Lors de la prise de Moghrar-Tahtani, l’armée française a détruit la plupart des maisons, vidé les silos, volé les tapis et le mobilier, et dynamité de nombreux palmiers. Les archives et les livres ont également été déchirés ou éparpillés, compliquant la reconstitution de l’histoire locale.

Origines et strcture

Selon les documents historiques, Ksar Moghrar el Tahtani a été fondé par deux pèlerins revenant de La Mecque. Vers 1480, les Sahani, chassés de Taqelqoûlt (Aïn-Sfissifa) par les Oudaghir, se sont installés dans le ksar. D’autres groupes, comme la fraction des Zouagha, sont également venus s’installer dans le village.

Ksar Moghrar el Tahtani s’étend sur 1 hectare, 92 ares et 55 centiares. Le site comprend des résidences privées, des infrastructures publiques, et des biens religieux (mosquée, zawiya). Récemment, un musée et une maison d’hôtes ont été établis. Le ksar possède quatre portes principales :

  • Bab Aït Ali, au nord-ouest.
  • Bab Echorfa, à l’ouest.
  • Bab Addaïr, au sud-est.
  • Bab Aghraou Nekeb et sortie Ouled El Fatmi.

Attraits touristiques

La région autour de Ksar Moghrar el Tahtani est riche en attractions touristiques, notamment des paysages pittoresques et des sites de gravures rupestres datant de 8000 ans avant J.-C. (81 sites), des tours, une oasis, et un musée classé nationalement depuis plus de dix ans. La maison de Cheikh Bouamama conserve et expose des artefacts et des documents relatifs à l’histoire de la région, mettant en lumière les traditions locales et les lignages importants qui ont façonné le ksar.

Kalat Cheikh Bouamama, anciennement appelé Ksar Moghrar el Tahtani, est une forteresse historique et un musée national en Algérie. Ce site emblématique, à environ 120 km au sud de Naâma, commémore la résistance héroïque du rebelle Cheikh Bouamama et préserve le riche patrimoine culturel de la région.

Ksar Moghrar el Tahtani a joué un rôle crucial pendant la période de la pénétration française. Lors de la prise de Moghrar-Tahtani, l’armée française a détruit la plupart des maisons, vidé les silos, volé les tapis et le mobilier, et dynamité de nombreux palmiers. Les archives et les livres ont également été déchirés ou éparpillés, compliquant la reconstitution de l’histoire locale.

Origines et strcture

Selon les documents historiques, Ksar Moghrar el Tahtani a été fondé par deux pèlerins revenant de La Mecque. Vers 1480, les Sahani, chassés de Taqelqoûlt (Aïn-Sfissifa) par les Oudaghir, se sont installés dans le ksar. D’autres groupes, comme la fraction des Zouagha, sont également venus s’installer dans le village.

Ksar Moghrar el Tahtani s’étend sur 1 hectare, 92 ares et 55 centiares. Le site comprend des résidences privées, des infrastructures publiques, et des biens religieux (mosquée, zawiya). Récemment, un musée et une maison d’hôtes ont été établis. Le ksar possède quatre portes principales :

  • Bab Aït Ali, au nord-ouest.
  • Bab Echorfa, à l’ouest.
  • Bab Addaïr, au sud-est.
  • Bab Aghraou Nekeb et sortie Ouled El Fatmi.

Attraits touristiques

La région autour de Ksar Moghrar el Tahtani est riche en attractions touristiques, notamment des paysages pittoresques et des sites de gravures rupestres datant de 8000 ans avant J.-C. (81 sites), des tours, une oasis, et un musée classé nationalement depuis plus de dix ans. La maison de Cheikh Bouamama conserve et expose des artefacts et des documents relatifs à l’histoire de la région, mettant en lumière les traditions locales et les lignages importants qui ont façonné le ksar.

Classé dans :

monuments historiques,

Dernière mise à jour : 27 septembre 2024

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