Aqueduc de Aïn Zeboudja

L’aqueduc d’Aïn-Zeboudja, long de 12 km, a été construit entre 1619 et 1639 par Moussa El-Andaloussi, un réfugié andalou. Il captait les eaux des plateaux de Ben-Aknoun et de Dely-Ibrahim pour les acheminer vers la médina d’Alger. Il faisait partie d’un réseau de quatre grands aqueducs qui convergaient vers la Casbah : l’aqueduc du Hamma au sud, celui de Birtraria au nord-ouest, et celui du Télemly au nord-est, tous essentiels pour alimenter la vieille ville et ses quatorze fontaines.

Aujourd’hui, l’aqueduc d’Aïn-Zeboudja est le seul encore visible, avec des sections situées au niveau de la résidence Chaabani au Val d’Hydra et à Bab Jdid. En janvier 2008, il a été classé patrimoine national.

En revanche, les trois autres aqueducs d’Alger ont disparu : l’aqueduc du Hamma, long de 5 km, pénétrait la ville par Bab Azoun ; celui du Télemly, de 2 km, provenait de Mustapha supérieur ; et celui de Birtraria, de 1.7 km, arrivait par Bab El-oued. Ces aqueducs ont continué à fournir de l’eau à la ville jusqu’au début du XXe siècle, vers 1910 environ.

L’aqueduc d’Aïn-Zeboudja, long de 12 km, a été construit entre 1619 et 1639 par Moussa El-Andaloussi, un réfugié andalou. Il captait les eaux des plateaux de Ben-Aknoun et de Dely-Ibrahim pour les acheminer vers la médina d’Alger. Il faisait partie d’un réseau de quatre grands aqueducs qui convergaient vers la Casbah : l’aqueduc du Hamma au sud, celui de Birtraria au nord-ouest, et celui du Télemly au nord-est, tous essentiels pour alimenter la vieille ville et ses quatorze fontaines.

Aujourd’hui, l’aqueduc d’Aïn-Zeboudja est le seul encore visible, avec des sections situées au niveau de la résidence Chaabani au Val d’Hydra et à Bab Jdid. En janvier 2008, il a été classé patrimoine national.

En revanche, les trois autres aqueducs d’Alger ont disparu : l’aqueduc du Hamma, long de 5 km, pénétrait la ville par Bab Azoun ; celui du Télemly, de 2 km, provenait de Mustapha supérieur ; et celui de Birtraria, de 1.7 km, arrivait par Bab El-oued. Ces aqueducs ont continué à fournir de l’eau à la ville jusqu’au début du XXe siècle, vers 1910 environ.