Ce sont les derniers vestiges des remparts de la ville d’El-Djazair. La médina berbère, appelée Casbah, a été fortifiée par les frères Barberousse pour résister aux diverses tentatives anglaises, espagnoles et françaises de conquête d’Alger. Ces travaux, qui prirent fin en 1542, permirent d’encercler la ville antique, qui s’étend sur 70 hectares, d’un mur de 11 à 13 mètres de hauteur. Le mur, fait de briques crues, était réuni par un mortier composé de chaux grasse, de terre rouge et de sable de carrière, et reposait sur un soubassement de tuf. Un vestige de ce mur, faisant face à la maison d’arrêt de Serkadji, peut encore être admiré.

Ce sont les derniers vestiges des remparts de la ville d’El-Djazair. La médina berbère, appelée Casbah, a été fortifiée par les frères Barberousse pour résister aux diverses tentatives anglaises, espagnoles et françaises de conquête d’Alger. Ces travaux, qui prirent fin en 1542, permirent d’encercler la ville antique, qui s’étend sur 70 hectares, d’un mur de 11 à 13 mètres de hauteur. Le mur, fait de briques crues, était réuni par un mortier composé de chaux grasse, de terre rouge et de sable de carrière, et reposait sur un soubassement de tuf. Un vestige de ce mur, faisant face à la maison d’arrêt de Serkadji, peut encore être admiré.

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monuments historiques,

Dernière mise à jour : 27 septembre 2024