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Type : site historique et architectural
Note : 4,0 (1 Vues)
Période : ottomane

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Aït El-Kaïd est un village historique situé dans la commune d’Aggouni Gueghrane, au sud de la wilaya de Tizi Ouzou, en Algérie. Ce village plusieurs fois centenaire est reconnu pour son importance historique et son architecture typique très ancienne.

Géographie

Le village est perché sur un piton rocheux à une altitude d’environ 610 mètres. Il offre une vue panoramique sur le massif du Djurdjura, les plaines environnantes et les villages alentour. Son emplacement en altitude contraste avec les zones de plaine (Azaghar) situées à quelques kilomètres en contrebas, où la plupart des habitants se sont réinstallés au fil du temps.

Histoire

Le village a été habité pendant plusieurs siècles, abritant de nombreuses familles qui y cohabitaient harmonieusement. Il représente un exemple typique de l’organisation sociale traditionnelle des hautes montagnes de Kabylie.

Architecture

Le village se caractérise par son architecture vernaculaire, utilisant des matériaux locaux tels que la pierre, l’argile et le bois. Les maisons, construites sur un terrain escarpé, forment un ensemble dense et labyrinthique, reliées par d’étroits chemins muletiers. Cette architecture témoigne du savoir-faire ancestral et de l’adaptation au milieu montagnard.

Dans la culture

Le village est évoqué dans la chanson « Ayakham dachou ikyewghe » du chanteur kabyle Akli Yahiatene, qui exprime la nostalgie et la tristesse liées à l’abandon du village.

Aït El-Kaïd est un village historique situé dans la commune d’Aggouni Gueghrane, au sud de la wilaya de Tizi Ouzou, en Algérie. Ce village plusieurs fois centenaire est reconnu pour son importance historique et son architecture typique très ancienne.

Géographie

Le village est perché sur un piton rocheux à une altitude d’environ 610 mètres. Il offre une vue panoramique sur le massif du Djurdjura, les plaines environnantes et les villages alentour. Son emplacement en altitude contraste avec les zones de plaine (Azaghar) situées à quelques kilomètres en contrebas, où la plupart des habitants se sont réinstallés au fil du temps.

Histoire

Le village a été habité pendant plusieurs siècles, abritant de nombreuses familles qui y cohabitaient harmonieusement. Il représente un exemple typique de l’organisation sociale traditionnelle des hautes montagnes de Kabylie.

Architecture

Le village se caractérise par son architecture vernaculaire, utilisant des matériaux locaux tels que la pierre, l’argile et le bois. Les maisons, construites sur un terrain escarpé, forment un ensemble dense et labyrinthique, reliées par d’étroits chemins muletiers. Cette architecture témoigne du savoir-faire ancestral et de l’adaptation au milieu montagnard.

Dans la culture

Le village est évoqué dans la chanson « Ayakham dachou ikyewghe » du chanteur kabyle Akli Yahiatene, qui exprime la nostalgie et la tristesse liées à l’abandon du village.

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Dernière mise à jour : 27 septembre 2024