Les remparts de Miliana, fondés sur ordre de l’empereur Hadrien, ont été reconstruits par les Turcs pour fortifier la ville et sa Casbah. Ces fortifications furent ensuite réaménagées par le génie militaire français lors du nouveau tracé urbain de la ville moderne. Longs de 3 km, hauts de 8 m et épais de 0,60 m, ces remparts, construits en pierres de taille, sont pourvus de 17 bastions. Autrefois, ils comportaient plusieurs portes dont la porte d’Alger à l’Est, la porte du Zaccar au Nord, et les portes de Boutane et d’Oran à l’Ouest.

Durant la période coloniale, une grande partie des remparts turcs de Miliana fut détruite à cause du nouveau tracé de la ville. Quelques travaux ont été effectués pour stabiliser la structure. Malgré ces modifications, les remparts restent un témoignage imposant de la beauté et du charme particulier de cette ville médiévale.

Les Turcs, utilisant les restes de constructions romaines, édifièrent deux enceintes : l’une entourait la Casbah au sud-est de la ville, l’autre ceinturait la ville turque à l’est et au nord. En 1849, les remparts furent déplacés vers l’ouest pour implanter la ville moderne. Ces murailles, situées sur un promontoire agréable, offrent une vue majestueuse sur la vallée du Chélif.

Les remparts sont dotés de meurtrières formant 17 bastions. La porte de l’Est (Porte du Zaccar), construite en 1854, fut démolie en 1954 pour fluidifier la circulation automobile. La porte de l’Ouest (Porte d’Orléansville), construite en 1850 et détruite en 1974, était connue sous le nom de « Bab El Gherbi ». La porte de Boutane, située près de Aïn El Djemmâa, fut détruite avant la porte du Zaccar. Enfin, la porte de Yedmer, menant vers Yadmer et Aïn El Barqouq, se trouvait sur le rempart sud et fut également un point d’accès important lors de la prise de Miliana par le maréchal Valée.

Les remparts de Miliana, fondés sur ordre de l’empereur Hadrien, ont été reconstruits par les Turcs pour fortifier la ville et sa Casbah. Ces fortifications furent ensuite réaménagées par le génie militaire français lors du nouveau tracé urbain de la ville moderne. Longs de 3 km, hauts de 8 m et épais de 0,60 m, ces remparts, construits en pierres de taille, sont pourvus de 17 bastions. Autrefois, ils comportaient plusieurs portes dont la porte d’Alger à l’Est, la porte du Zaccar au Nord, et les portes de Boutane et d’Oran à l’Ouest.

Durant la période coloniale, une grande partie des remparts turcs de Miliana fut détruite à cause du nouveau tracé de la ville. Quelques travaux ont été effectués pour stabiliser la structure. Malgré ces modifications, les remparts restent un témoignage imposant de la beauté et du charme particulier de cette ville médiévale.

Les Turcs, utilisant les restes de constructions romaines, édifièrent deux enceintes : l’une entourait la Casbah au sud-est de la ville, l’autre ceinturait la ville turque à l’est et au nord. En 1849, les remparts furent déplacés vers l’ouest pour implanter la ville moderne. Ces murailles, situées sur un promontoire agréable, offrent une vue majestueuse sur la vallée du Chélif.

Les remparts sont dotés de meurtrières formant 17 bastions. La porte de l’Est (Porte du Zaccar), construite en 1854, fut démolie en 1954 pour fluidifier la circulation automobile. La porte de l’Ouest (Porte d’Orléansville), construite en 1850 et détruite en 1974, était connue sous le nom de « Bab El Gherbi ». La porte de Boutane, située près de Aïn El Djemmâa, fut détruite avant la porte du Zaccar. Enfin, la porte de Yedmer, menant vers Yadmer et Aïn El Barqouq, se trouvait sur le rempart sud et fut également un point d’accès important lors de la prise de Miliana par le maréchal Valée.

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monuments historiques,

Dernière mise à jour : 27 septembre 2024

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