Bab El Bounoud, également connue sous le nom de Porte des Étendards ou Porte Fouka, se trouve au nord-ouest de la ville de Béjaïa.
Construite en 1070 par le sultan hammadite al-Nasir, elle constituait l’issue principale de la cité médiévale El Naceria. Cette porte monumentale, surmontée d’un prétoire royal, permettait au sultan de superviser les entrées de la ville lors des foires, des arrivées de caravanes et des fêtes.
Encadrée de deux bastions et flanquée de tourelles, elle était l’une des six portes percées dans la muraille de la ville. Aujourd’hui, il ne reste qu’une muraille avec deux ouvertures, celle de gauche étant la plus ancienne et authentique. Classée patrimoine national le 17 novembre 1903, Bab El Bounoud commandait la communication avec l’arrière-pays grâce à ses tours hexagonales et ses deux portes en arc d’ogive.
À proximité se trouvait le chouf al-Riad (observatoire des jardins), également appelé al-Manara, qui servait de tour à signaux. Le site est classé patrimoine national par le J.O n° 07 du 23/01/1968.
Bab El Bounoud, également connue sous le nom de Porte des Étendards ou Porte Fouka, se trouve au nord-ouest de la ville de Béjaïa.
Construite en 1070 par le sultan hammadite al-Nasir, elle constituait l’issue principale de la cité médiévale El Naceria. Cette porte monumentale, surmontée d’un prétoire royal, permettait au sultan de superviser les entrées de la ville lors des foires, des arrivées de caravanes et des fêtes.
Encadrée de deux bastions et flanquée de tourelles, elle était l’une des six portes percées dans la muraille de la ville. Aujourd’hui, il ne reste qu’une muraille avec deux ouvertures, celle de gauche étant la plus ancienne et authentique. Classée patrimoine national le 17 novembre 1903, Bab El Bounoud commandait la communication avec l’arrière-pays grâce à ses tours hexagonales et ses deux portes en arc d’ogive.
À proximité se trouvait le chouf al-Riad (observatoire des jardins), également appelé al-Manara, qui servait de tour à signaux. Le site est classé patrimoine national par le J.O n° 07 du 23/01/1968.
